La confiance est un élément essentiel de la relation entre votre Thérapeute et vous.

. Vous avez des questions ?... J'ai les réponses !...​

Je fais en sorte que mes patients vivent leur thérapie de la meilleure façon possible, et pour cela je tâche de répondre à toutes leurs interrogations. ​

Consultez  cette page pour découvrir les questions qui me sont le plus fréquemment posées.

Et n'hésitez  pas  a me contacter si vous avez d autres questions.

Avez-vous une approche lacanienne,  freudienne, ou bien jungienne de la psychanalyse ?

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Ma formation est Lacanienne au départ,

mais j y ai peu a peu  intégré d autres approches au cours de l évolution de l exercice  de mon activité 

et de mon expérience  acquise avec mes patients.

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Quels sont vos honoraires et vos horaires?

Entre 50 et 70 euros pour une séance 1 heure en fonction de la thérapie suivie : ​

Psychanalyse -  50 euros pour une séance d une heure 

Coaching, Sophrologie, hypnothérapie - 70 euros pour une séance d une heure

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les consultations se font sur rendez-vous 

soit a mon Cabinet soit par visio-cansultation a distance

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Horaires : du lundi au samedi de 10 h a 20h - journée continue -

Pourquoi faire une psychanalyse aujourd’hui ?

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À quoi bon parler encore, quand on a tout essayé ?

Il y a des douleurs qui résistent, même après des thérapies, des lectures, des efforts....

Il y a ce sentiment étrange que quelque chose se répète, échappe, insiste, comme un fil qui revient toujours au même point. C’est là, précisément, que la psychanalyse commence. Non pour donner une solution toute faite, mais pour ouvrir un espace. Un espace où ce qui ne se dit nulle part peut enfin se dire.

La psychanalyse n’est pas une méthode : c’est une rencontre

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Parler à un psychanalyste, ce n’est pas suivre un protocole. C’est entrer dans une démarche libre, singulière, sans recettes.

On ne vous dira pas quoi faire, ni comment penser. On écoutera ce que vous dites… et surtout ce que vous ne dites pas. On suivra les mots, les lapsus, les silences. Parce que là se trouve souvent ce qui bloque, ce qui revient, ce qui fait mal.

Pour qui ? Pourquoi ?

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Certaines personnes consultent en psychanalyse après avoir déjà suivi une thérapie brève ou un coaching. D’autres arrivent sans jamais avoir parlé à personne.

Ce que toutes ont en commun ? Le désir d’aller plus loin.

Vous pouvez envisager une psychanalyse si :

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• Vous ressentez un mal-être diffus, sans cause apparente

• Vous vivez des situations qui se répètent (échecs amoureux, blocages professionnels…)

• Vous vous interrogez sur votre sexualité, vos choix, votre rapport au corps ou au désir

• Vous sentez qu’un travail en profondeur est nécessaire

Ce que je propose :

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Formé à la psychanalyse,  et aux thérapies brèves, j’accueille à Bastia ou en ligne celles et ceux qui souhaitent entamer une démarche analytique.

Chaque parcours est unique. Il n’y a pas de durée prédéfinie. Je propose une approche ouverte, contemporaine, sans dogme, qui fait place au réel du sujet, à ses résistances, à ses paradoxes, à ses désirs.

Psychanalyse ou thérapie brève : comment choisir ?

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Je reçois souvent cette question. Une thérapie brève vise un symptôme précis, sur une durée limitée. Elle est parfois suffisante. La psychanalyse, elle, ne s’arrête pas au symptôme. Elle interroge le sujet dans sa structure, son histoire, ses répétitions.

C’est une démarche plus exigeante, mais aussi plus transformatrice.

Comment débuter ?

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Un premier rendez-vous suffit pour sentir si ce cadre vous convient.

Il ne s’agit pas de s’engager immédiatement dans un processus long : il s’agit de commencer à parler. Et presque toujours, ce simple fait de parler déplace déjà quelque chose.

La psychanalyse peut-elle guérir ?...

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La psychanalyse a été si largement divulguée, que certains seraient tentés de la confondre avec une expérience intellectuelle. Or la psychanalyse est d'abord un traitement qui a pour vocation de guérir la souffrance. Et cette thérapeutique n est efficace qu'à une condition: C'est que le psychanalyste s'engage authentiquement avec son patient et ne cherche pas a appliquer un arsenal théorique ou une technique aussi fine soit-elle.

Une cure ne s'engage sur la voie de la guérison que si l'analyste parvient a avoir une fusion d'inconscients, À capter les émotions traumatiques ressenties, puis oubliées par l'enfant blessé que le patient recèle en lui.

Tant que cette douleur sourde reste enfermée dans l inconscient du patient, elle se manifestera sous la forme de divers symptômes (somatisation) ou de comportements conflictuels. Elle cesse d'être nocive quand elle prend un sens, quand elle est reliée à d'autres événements de l'histoire du patient, et elle ne se manifeste plus alors dans un symptôme mais se dilue dans la pensée et le langage.

Encore faut-il que le psychanalyste parviennent à capter cette émotion refoulée...​

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Voilà l'idée à atteindre pour la Psychanalyste que je suis et que j'illustrerais volontiers par cette courte histoire ci après…

Le cheval et l’écurie…

Un couple décida un jour d’acheter un cheval...

Ce fut une grande joie pour eux d’accueillir cet animal magnifique!... Mais la joie commença à diminuer quand le cheval plein de vie et d’affection pour ses maîtres commença à désobéir… Chaque soir, il refusait d’entrer dans son écurie, malgré l emploi de la douceur, la menace ou la force, le cheval refusait d’y entrer… Le couple décida alors de faire appel a un spécialiste qui posa très vite un diagnostic : Trouble du comportement!... Il fit une ordonnance pour un traitement qui calma provisoirement le cheval mais le résultat ne changea guère. Il ne rentrait toujours pas dans l’écurie et ne montrait plus à présent sa joie de vivre. Le couple tenta alors d’aller voir d’autres spécialistes qui proposèrent d’autre solutions pour faire obéir ce cheval. Mais en vain…
Puis un jour, un voisin s’approcha du cheval. Il sentit sa tristesse et son agressivité…

Et ainsi  chaque jour, il lui rendait visite. Chaque jour, il observait  et écoutait avec patience bienveillance et persévérance sans vouloir chercher a le guérir, ou le changer…

Il n’avait aucune attente sauf  celle d’être là pour ce cheval. Il appris à déplacer son regard sur cet animal que l’on disait caractériel. Il ne se focalisa pas sur le problème mais sur la pulsion de vie qui était encore là dans cet animal. Il fallut beaucoup de temps pour qu’un jour l’animal le conduise lentement vers un coin sombre de l'écurie. Il essaya de comprendre, mais en vain, pourquoi le cheval le menait dans cet espace, mais comprendre était encore trop tôt…  Un soir, comme il rendait visite au cheval plus tard que d habitude, en passant devant l'écurie il vit soudain bouger quelque chose dans la pénombre, et en regardant dans le coin que lui avait montré le cheval, il vit  comme une ombre qui avait une forme animale et  qui semblait se déplacer rapidement et sans bruit… Il pensa alors à un loup!... Il alla avertir le couple qui sortit rapidement et fit du bruit pour faire fuir cet animal. Puis ils s' assurèrent que cette "ombre" n’était plus là, et il décidèrent de sécuriser l’écurie pour qu’aucun animal sauvage ne puisse y pénètrer. Depuis ce jour là, le cheval accepta d’être accompagné pas à pas vers ce lieu fermé, jusqu'à finir par y entrer,  et peu de temps après, il y passa sa première nuit !...Le diagnostic de trouble de comportement disparut en quelques jours et le traitement fut arrêté progressivement.

Combien de professionnels ne voient pas le loup qui se cache dans  l écurie et continuent pourtant à vouloir y faire entrer celui qui a peur et qui se tétanise ?...

Je pense à tellement de patients, (qu' ils soient enfants ou adultes) que l’on tente de dresser ou redresser, de faire entrer de force dans un cadre et que l’on menace d’exclusion sans voir que ce qui les rends encore vivants, c’est de ne pas entrer dans cette écurie !...
Un jour, ils seront peut être prêts pour aller voir qui est ce loup, Mais en attendant écoutons, écoutons, écoutons et respectons le rythme et le temps nécessaire a chacun pour marcher sur ce chemin…